Silence porte un projet de transformation de la société dans le sens de la décroissance et de l'écologie sociale. La revue explore les alternatives concrètes et cherche à aborder tout sujet non seulement sous l'angle écologique et décroissant, mais aussi au regard du féminisme, du post-colonialisme, de la non-violence, etc.
Nous misons d'abord sur le changement par le bas, par le faire, par la reconquête de zones d'autonomie, de partage et de convivialité.
Silence a également à cœur de cultiver les débats d'idées, les réflexions théoriques, les élaborations d'utopies qui contribuent aux débats de l'écologie politique.
L'association et l'équipe de Silence s'essaient à mettre en œuvre les alternatives qu'elles promeuvent et la lutte contre les dominations en leur sein, dans un souci de cohérence entre le dire et le faire.
Silence a fait le choix de l'écriture inclusive car nous croyons que le masculin universel dans la langue française est l'une des formes de la domination patriarcale dans la langue française.
La revue Silence, c'est 5 salarié·es à temps partiel, un CA, mais surtout des dizaines de bénévoles qui font vivre l'association. Les salarié·es coordonnent les deux pôles de l'association : la rédaction et la gestion-diffusion de la revue, grâce à l'appui du Conseil d'Administration. Les bénévoles donnent sens à notre projet et permettent sa viabilité au quotidien.
Vous êtes invité·es à prendre une part active dans cette aventure collective en participant à la rédaction ou à la diffusion de Silence
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