Bonnes nouvelles de la semaine du 27/05
Notre première bonne nouvelle est européenne et s’inscrit dans la lutte contre la dégradation de l’environnement. Le bateau Tara prend le départ ce lundi 27 mai pour une expédition scientifique et écologique sur les dix plus grands fleuves d’Europe. L’objectif est d’étudier les micro-plastiques (particules de moins de 2,5 mini mètres) qui sont présentes dans les eaux. Selon la Fondation Tara Océans et le CNRS, pour résoudre le problème du plastique dans les océans, il faut s’attaquer à la source et donc déterminer l’origine et le parcours de ces micro-plastiques.
Alors que nos océans sont pollués par le plastique, un primeur Néo-zélandais a décidé de retirer tous les emballages de ses fruits et légumes. Cette initiative est non seulement éco-responsable mais permet aussi de rapporter de la clientèle. En effet, suite à cette démarche, les ventes ont grimpé de 300% sur certains produits. Les rayons, libres de toutes traces de plastique, sont maintenant colorés et sentent bon.
C’est une première! À Amsterdam, la mairie devient végétarienne. Elle ne servira donc plus de viande lors des événements qu’elle organise. L’initiative, on la doit à Johnas van Lammeren, membre du Parti pour les animaux. Cette mesure est appelée « Carnivore ? Indiquez-le-nous, » car dorénavant, pour manger de la viande, telle que les fameuses bitterbal, il faudra faire une demande. C’est une victoire pour la cause animalière ainsi que pour ceux qui lutte contre le dérèglement climatique et milite donc pour un changement de nos modes de vie. Pour produire 1 kilogramme de bœuf, il ne faut pas moins de 15 500 litres d’eau. L’élevage est à l’origine de 14,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. On estime que l’agriculture, dont 70% des terres sont destinées à nourrir les animaux, est responsable de 70% de la déforestation. Un bilan alarmant qui nous incite qu’à féliciter l’initiative de van Lammeren.
En Irlande, des SDF peuvent maintenant devenir guides touristiques afin de toucher à nouveau un salaire et de regagner en confiance. C’est My Streets qui est à l’origine du programme. Celui-ci permet de visiter autrement l’Irlande, loin des circuits touristiques traditionnels, tout en favorisant la réinsertion sociale de ceux en marge de la société.
Finalement, côté français, le Tarn ambitionne à être le premier département sans perturbateurs endocriniens. Les élus du Conseil départemental du Tarn se sont engagés à signer la charte « Villes et Territoires sans perturbateurs endocriniens » pour mettre en œuvre ce projet. Après signature, un plan d’action sera rapidement mis en place. Celui-ci comprendra par exemple des campagnes de sensibilisation auprès de la population, le développement du bio, ou encore la diminution des produits solvants dans les cantines.
Aucun commentaire
Désolé, les commentaires sont clos.